Aujourd'hui (14 janvier), l'armée sud-coréenne a annoncé que la République populaire démocratique de Corée avait lancé une série de missiles à courte portée, après quoi le président par intérim sud-coréen Choi Sang-mok a déclaré que Séoul répondrait aux actions de Pyongyang.
La télévision sud-coréenne diffuse des informations sur un essai de missile nord-coréen
L'armée sud-coréenne a déclaré avoir enregistré une série de missiles balistiques à courte portée lancés par la Corée du Nord vers la mer de Chine méridionale le 14 janvier, selon Reuters.
Les chefs d'état-major interarmées sud-coréens (JCS) ont détecté le lancement du missile vers 9h30 (heure locale), en provenance de la région de Ganggye, dans la province de Jagang, au Nord.
Les missiles ont parcouru 250 km avant de tomber dans la mer.
La Corée du Nord teste avec succès un missile hypersonique qui « pénètre toutes les défenses »
Le JCS a affirmé qu'il maintenait une vigilance et une préparation élevées face aux développements en Corée du Nord et qu'il continuait de partager des informations sur des lancements similaires avec les États-Unis et le Japon.
Le président sud-coréen par intérim, Choi Sang-mok, a déclaré que le gouvernement de Séoul répondrait fermement à ce qu'il considérait comme des « provocations » de la part de Pyongyang et a affirmé que le test de missile violait les résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Le lancement a eu lieu un jour après que le ministre japonais des Affaires étrangères Takeshi Iwaya a rencontré de hauts responsables sud-coréens à Séoul dans le but de renforcer les relations bilatérales avant le retour du président élu américain Donald Trump à la Maison Blanche.
L'événement du 14 janvier a marqué le deuxième essai de missile de la Corée du Nord depuis le début de l'année. Le 6 janvier, Pyongyang a annoncé avoir lancé un missile balistique hypersonique de moyenne portée.
L'AFP cite des experts qui estiment que le dernier essai de missile de la Corée du Nord pourrait être un message adressé à la nouvelle administration de Donald Trump.
"Le lancement pourrait viser les Etats-Unis, avec l'intention d'accroître la pression avant le second mandat de Donald Trump", a déclaré Yang Moo-jin, président de l'Université des études nord-coréennes de Séoul.
Source : https://thanhnien.vn/trieu-tien-phong-loat-ten-lua-tu-bo-dong-quyen-tong-thong-han-quoc-len-tieng-185250114085134038.htm
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